QUIZ du mois novembre 2019

• elles n’ont pas permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre

Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement a publié la 10e édition de son rapport sur les émissions de gaz à effet de serre. Il met l’accent sur le fait que les Etats ont « collectivement échoué » à réduire ces émissions entre 2009 et 2019. La conséquence est que les efforts devront être encore plus importants pour contenir ces émissions à un niveau permettant de limiter le réchauffement climatique.

• la France

Selon Eurostat, 10,9 milliards d’euros sont entrés dans l’UE en provenance de l’extérieur de l’Union, et 35,6 milliards d’euros ont fait le chemin inverse. 15,5 milliards ont transité d’un pays à l’autre. Il s’agit ici des flux entre ménages. C’est au Portugal que les flux entrants (venant ou non d’autres pays de l’UE sont les plus importants : ils dépassent les 3,6 milliards d’euros alors que c’est en France que les flux sortants sont les plus élevés : plus de 11,4 milliards d’euros ont été envoyés à l’étranger (2,6 vers d’autres pays de l’UE, 8,8 vers des pays hors-UE). Ces flux sont significatifs de la part de la population venant d’autres pays au sein du pays.

• est plus forte en 2018 qu’en 2013

Invités à noter leur satisfaction dans leur vie par une note allant de 1 à 10, les membres de l’UE évaluent cette satisfaction en moyenne à 7,3 en 2018 contre 7,0 en 2013. Leur satisfaction par rapport à leur situation financière est passée de 6,0 à 6,5 alors que celle par rapport à leurs relations personnelles reste à un niveau élevée puisqu’elle est passée de 7,8 à 7,9. C’est en Finlande que la satisfaction dans la vie est la plus élevée avec une note moyenne de 8,1 alors que c’est en Bulgarie qu’elle est la plus basse (5,4). La France, elle, se situe presque exactement au niveau moyen de l’UE : 7,3 pour la satisfaction générale, 6,6 pour la situation financière et 7,9 pour les relations personnelles.

• sont les plus élevées

Les dépenses de protection sociale en France représentent, en 2017, 34,1 % de son PIB, c’est 6,2 points de plus que la moyenne européenne, qui est de 27,9 %. Le taux le plus bas est de 14,4 % en Roumanie alors que le Danemark vient en seconde position avec 32,2 % de son PIB. Les dépenses de protection sociale ont très légèrement baissé, rapportées au PIB dans l’UE, passant de 28 % à 27,9 % (elles étaient de 28,7 % en 2012). La France connaît la même dynamique entre 2016 et 2017, avec une baisse de 0,2 points de pourcentage, mais les dépenses ont augmenté entre 2012 et 2017. La répartition des dépenses selon les risques est assez proche en France de la moyenne européenne.

• diminué

Selon la Dares, le nombre de recrutements en contrats aidés a diminué de 54 % par rapport à 2017, ce qui s’inscrit dans une volonté du gouvernement de réduire le nombre de ce type de contrats. 130 100 ont été signés dans le secteur non marchand et 3 800 dans le secteur marchand. Le nombre total de bénéficiaires de ce types de contrats est, lui, de 139 400, en baisse de 46 %. La baisse touche particulièrement les plus jeunes. Cependant, la Dares met aussi en avant le fait que les contrats aidés restants ont permis un meilleur retour vers l’emploi.

• plus faible en fin de carrière que sur le reste de la carrière

Selon l’Insee, en 2018, 68 % des femmes de 15 à 64 ans sont actives, alors que le taux d’activité des hommes est de 76 %. En tout début de carrière, soit de 1 à 4 ans après la sortie de la formation initiale, le taux d’activité des femmes est de 83 % et est donc inférieur de 3 points à celui des hommes.

• 15 %

Selon l’Insee, 15,2 % des Français n’ont pas utilisé Internet en 2019. Ce taux est de 2,8 % pour les 15-29 ans comme pour les 30-44 ans. Il s’élève à 24,1 % pour les 60-74 ans et 64,2 % pour les 75 ans et plus. Les données de l’Insee mettent aussi en évidence une corrélation négative entre le niveau de diplôme et l’usage d’Internet, ainsi qu’entre le niveau de revenu et l’usage d’Internet.

• 28 %

L’Insee a publié des données sur les ventes des commerces de détail qui laissent apparaître une forte saisonnalité de ces ventes. En particulier, le mois de décembre concentre 10 % des ventes annuelles. Cette part est la plus élevée pour les jeux et jouets, avec 28 %, mais elle est très forte aussi pour les boulangeries-pâtisseries (23%). L’enquête montre aussi les effets des soldes sur les ventes.

• 3880 euros par mois.

Les non-salariés hors micro-entrepreneurs et hors agriculture reçoivent en moyenne 3580 euros par mois. Les entrepreneurs individuels, eux, reçoivent en moyenne 3880 euros par mois et les gérants de société gagnent 3180 euros par mois. 8 % des non-salariés hors micro-entreprise déclarent un revenu nul. Le revenu des non-salariés reçoivent en moyenne 5600 euros alors que dans le secteur des services aux particuliers, ils gagnent en moyenne 1650 euros. Les micro-entrepreneurs reçoivent, eux, en moyenne 470 euros pour ceux d’entre eux qui sont économiquement actifs.

• diminué

En 2017, 440 000 personnes sont non-salariées dans l’agriculture. Il y en a 7000 de moins qu’en 2016, soit une baisse de 1,6 %. 13 % des non-salariés dans l’agriculture cumulent cela avec une activité salariée.